vers une chaîne de valeur centrée sur l'innovation ?

Sylvain mbongui kialo (HDR)

Sylvain Mbongui Kialo Docteur en Sciences de Gestion, Sylvain Mbongui Kialo est Maître de conférences à l’IUT de Mantes, où il siège au comité directeur et au conseil d’IUT. Chef de département Techniques de Commercialisation, Responsable pédagogique de la licence professionnelle Commercialisation des Produits et Services Industriels. 

2024 : Garant et président du jury d’habilitation à diriger des recherches en sciences de gestion de Sylvain Mbongui Kialo : « Vers une chaîne de valeur centrée sur l’innovation ? ». Jury composé de Thierry Burger Helmchen (Professeur des Universités à Strasbourg, Rapporteur), Johanna Habib (Professeur des Universités à Aix Marseille, Rapporteur), Liliana Mitkova (Professeur des Universités à Evry Val d’Essonne, Rapporteur), Pascal Corbel (Professeur des Universités à Paris Saclay, Examinateur), Bérangère Szostak (Professeur des Universités à l’UVSQ, ISM-IAE, Examinatrice), soutenance à l’UVSQ, laboratoire Larequoi,  le 1er février. 


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Mémoire de HDR Sylvain MBongui
Vers une chaîne de valeur centrée sur l'innovation ?
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Résumé de la HDR de Sylvain Mbongui
Diaporama de soutenance de HDR
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Étude de l’appropriation du patrimoine culturel immatériel grâce aux méthodes numériques : Visualisation et cartographie de la biopiraterie des médecines traditionnelles

Luis Felipe torres Yepez (Dr)

Luis Felipe Torres Yepez Membre de l'équipe de recherche  CITU - Innovation numérique et Intelligence artificielle –  au sein du laboratoire Paragraphe, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis. Spécialisé dans plusieurs domaines de recherche : Humanités numériques, Digital Studies, Visualisation de données, Biopiraterie, Patrimoine culturel immatériel, Médecines traditionnelles, Digital Methods, Anthropologie.

2024 : Examinateur dans le jury de thèse en sciences de l’information et de la communication de Luis felipe Yepes Torres : « Étude de l’appropriation du patrimoine culturel immatériel grâce aux méthodes numériques Visualisation et cartographie de la biopiraterie des médecines traditionnelles ». Jury composé de Patricia Laudati (Professeur Université Côte d'Azur, rapporteur), Marta Severo, (Professeur Université Paris Nanterre, rapporteur), Ghislaine Azémard, (Professeur émérite Université Paris 8, examinatrice), Everardo Reyes, (Professeur Université Paris 8, examinateur), Khaldoun Zreik, (Professeur Université Paris 8, directeur de thèse), soutenance à l’université Paris 8 Vincennes Saint-Denis, le 23 janvier. 

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Thèse de Luis Felipe Torres-Yepez
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Résumé de la thèse
Diaporama de la soutenance de thèse
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Résumé de la thèse : Cette recherche a émergé dans un monde en ébullition et en transformation, à l’ère des transitions écologiques, sociales et numériques, et en pleine pandémie du covid-19. Dans ce contexte, nous avons mené ce travail dans une perspective pluridisciplinaire afin d’explorer la problématique de l’appropriation du patrimoine culturel immatériel (PCI) et du patrimoine bioculturel, notamment à travers la biopiraterie des médecines traditionnelles (MT). En 2003, l’Unesco a adopté une Convention portant sur la sauvegarde du PCI défini comme les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire (ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés) que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel. Adoptant un point de vue centré sur la protection de ce patrimoine, notre objectif a donc été de développer des méthodes numériques (MN) et des outils de visualisation et de cartographie de données afin d’analyser la biopiraterie des MT. La première partie de la recherche aborde les thèmes des MT, de la biopiraterie et des méthodes numériques. La deuxième partie présente une recherche en trois langues (français, espagnol et anglais), basée sur des méthodes numériques, sur la biopiraterie des MT sur les réseaux sociaux Twitter et YouTube. Dans une troisième partie, nous explorons les bases de données relatives aux brevets pour analyser l’appropriation et la transformation de la plante Stévia rebaudiana. Enfin, nous achevons notre recherche en évoquant les contributions, les limites et les perspectives de la méthode et des outils de visualisation et de cartographie appliqués aux réseaux sociaux. Nous concluons sur l’importance de créer des instruments et des protocoles pour protéger les connaissances traditionnelles et la biodiversité des tentatives d’extraction, d’appropriation et de transformation par des entreprises globales et de biotech.