le management des reseaux

tisser du lien social pour le bien être économique

Comment sortir de la crise politique, morale et économique, qui sème le doute sur la pérennité de notre modèle social ?

A une période de grands bouleversements,  où l’entreprise perd ses repères, où les pouvoirs publics n’ont plus de marge de manoeuvre, il est temps de réfléchir à de nouvelles stratégies de croissance. Est-il possible d’adopter des comportements solidaires, en remplaçant le contrôle par la confiance, pour produire des richesses ?

Consacré au management collaboratif, cet ouvrage apporte des éclairages sur cette question. Il établit les contours d’un capitalisme de réseau plus respectueux de l’aspiration sociale, sans tomber dans l’utopie communautariste ! Il explique comment entretenir la croissance économique, en réconciliant les enjeux financiers avec le besoin de reconnaissance sociale. 


CITAtions

 L'ouvrage de Christophe Assens est bien venu. Non seulement il propose de nous clarifier les idées sur un sujet souvent traité de façon paresseuse, mais encore il donne des illustrations détaillées et parlantes de ses idées sur différentes formes de réseaux qu'on peut observer, de la vie des affaires jusqu'à l'exercice quotidien de la citoyenneté."  

MICHEL BERRY, fondateur et responsable de l'Ecole de Paris du Management. 

 

"Un « nouvel esprit du capitalisme » prend forme dans cet ouvrage avec la figure du capitalisme de réseau, au delà du marché déshumanisé, sans pour autant tomber dans une posture idéologique."

JEAN-PIERRE BOUCHEZ, directeur de recherche au sein du laboratoire LAREQUOI 

 

"Gérer la complexité des organisations contemporaines ne peut plus être un acte solitaire. L'ouvrage répond à cette préoccupation des dirigeants d'entreprises en offrant une synthèse théorique et empirique solide."

REAL JACOB, Professeur titulaire de management, Directeur de la

valorisation des connaissances et de la formation des cadres HEC Montréal

 

"Voici un ouvrage de recherche ambitieux et stimulant où les réseaux apparaissent comme autant de formes alternatives au Marché, à l'Etat, à l'Entreprise hiérarchique classique. Un ouvrage à lire sans plus attendre !"

FRANÇOISE CHEVALIER, Professeur Permanent HEC Paris,

Coordinateur du Département Management et Ressources Humaines.

 

"Face à la redoutable polysémie du terme « réseau » et aux fréquentes confusions sémantiques que l'on peut observer, le livre de Christophe Assens introduit une saine clarté et apporte les précisions nécessaires."

ALAIN BOUVIER, Recteur, Professeur émérite des universités de Poitiers et Sherbrooke.

Ancien membre du Haut conseil de l'éducation. 

  

communiqué de presse


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laureat du prix manpower / HEC


Le 19 novembre s'est tenue la soirée de remise des Prix 2014 de la Fondation ManpowerGroup, en partenariat avec HEC Paris à l'hôtel Potocki de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris région IDF. Une soirée au cours de laquelle Bernard RAMANANTSOA (Directeur Général HEC) annonce l'attribution d'une mention spéciale à l'ouvrage de Christophe ASSENS, "Le management des réseaux" – De Boeck.

Il appelle Christophe ASSENS et deux autres membres du jury : Bernard de MONTMORILLON (ex-Président de l'université Paris-Dauphine) et Jacques PERRIN (Economiste), pour remettre le Prix.


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Communiqué de presse du Prix Manpower HEC
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laureat du prix societe française de management / syntec


Le jeudi 3 avril 2014 avait lieu la 6e cérémonie du prix académique de la recherche en management, organisée par la Fédération Syntec - Consult'in  France, avec le soutien du Ministère de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur, de l'Expansion Management Review,  des Echos et de la Societe Francaise de Management

 

À cette occasion, Christophe Assens s'est vu remettre par Francis Hintermann, Global Managing Director, Accenture Research : le prix du meilleur ouvrage de recherche appliqué en management, pour son livre intitulé "Le management des réseaux", aux éditions De Boeck.

 

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societe française de management

interview laureat du prix sfm

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Société Française de Management
Entretien après l'obtention du Prix littéraire SFM/Syntec du meilleur ouvrage de management de l'année en France
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note de lecture

Géographie, économie, société

2016/4 (Vol. 18)

Christophe Assens, 2013, Le management des réseaux – Tisser du lien social pour le bien-être économique, Bruxelles, De Boeck, 168 pages

1

Cet ouvrage est le fruit des recherches de son auteur Christophe Assens[1][1] Christophe Assens est Maître de Conférences en Sciences...sur le management des réseaux depuis une vingtaine d’années. La figure du réseau est par nature une figure transdisciplinaire qui correspond aux regards croisés de la revue Géographie Economie Société. Ainsi, bien que l’auteur relève, institutionnellement, de la discipline des sciences de gestion, il prend bien soin de replacer le réseau dans son contexte économique, social et territorial. Le sous-titre (Tisser du lien social pour le bien-être économique) est à ce titre particulièrement évocateur de la perspective socio-économique de l’ouvrage. Celui-ci a été récompensé en 2014 par le prix SFM (Société Française de management) - Syntec du meilleur ouvrage de recherche appliquée en management et par le prix littéraire de la Fondation ManpowerGroup - HEC Paris. Son auteur Christophe Assens a ainsi été récompensé pour les implications pratiques de son ouvrage pour les organisations et leurs décideurs.

2

En remettant en cause dès l’introduction le cadre de référence classique des entreprises qu’il compare à celui de la tragédie grecque : unité de lieu (par la globalisation), de temps (par les procédés de communication) et d’action (par de nouveaux problèmes de gouvernance), l’auteur donne le ton à son ouvrage. Il vise à examiner « le management des relations » de ces entreprises qui obéissent aujourd’hui à des règles plus nombreuses et sont soumises à des frontières plus floues qu’auparavant. « Pour réduire les risques d’incertitude dans le rapprochement des firmes émerge une forme d’organisation au sein de laquelle les principes de confiance et de réciprocité vont prévaloir : le réseau » (p. 14).

3

Partant de l’étymologie latine du mot « réseau » (« retis », filet ou maillage) et de son origine historique liée au maillage entre artisans, sorte de communauté productive, du Moyen Âge, l’auteur définit le réseau ainsi : « Qu’il soit d’origine sociale ou technique, le réseau sert à décrire un mode d’organisation basé sur des relations d’échanges entre des entités autonomes, qui sont connectées entre elles malgré l’éloignement physique ou cognitif, pour valoriser leurs complémentarités » (p. 16).

4

Sur la base de cette définition, le livre cherche à analyser « les mécanismes de création de richesse à partir du lien social » (p. 23) en mettant en perspective les relations de la notion de réseau avec le capitalisme d’une part (premier chapitre), l’entreprise d’autre part (deuxième chapitre) et enfin le territoire (troisième chapitre). Ce choix, rapidement justifié dans l’introduction, permet au livre d’aborder les différentes dimensions spatiales et temporelles mais aussi macro, méso et micro de la notion de réseau.

5

Le premier chapitre aborde la thématique « réseau et capitalisme » à travers une mise en perspective historique de la crise intrinsèque du capitalisme et le réseau y est étudié comme un mécanisme régulateur de l’économie capitaliste, au même titre que l’État ou le marché. Ces derniers semblent aujourd’hui impuissants à faire converger l’économie mondiale vers le bien-être général. Durant trente ans, la rémunération des facteurs de production (travail et capital) s’est progressivement détachée d’une base économique réelle, à savoir la contribution des facteurs à la valeur ajoutée. L’intérêt général s’est ainsi progressivement éloigné du cœur des préoccupations des dirigeants d’entreprises, plus préoccupés de satisfaire aux pressions de la gouvernance actionnariale. À partir de la fin 2007, la bulle spéculative a entraîné l’économie mondiale dans une crise financière puis une grave récession aux racines économiques profondes. Dans ce cadre, la question posée est de savoir si le capitalisme de réseau, présenté par l’auteur comme une sorte de démocratie participative fondée sur davantage de solidarité entre ses acteurs, peut servir de réponse à cette crise du capitalisme. Le capitalisme de réseau permet, par le biais de la confiance, de créer et de répartir la richesse de façon plus équitable que le capitalisme d’État. Il s’appuie sur les mécanismes d’ajustement ou de connivence entre les parties prenantes pour parvenir à la création de richesse, non par l’acquisition exclusive de droits de propriété sur les ressources mais par l’acquisition de droits collectifs de propriété qui impliquent le partage de ces ressources.

6

À partir de la littérature académique, l’auteur distingue trois formes de réseau :

  •   

    le réseau distribué ou autogouvernance, comparable à une « communauté de pratiques », est une forme de réseau au maillage dense où les conventions entre les membres permettent au réseau de s’autoréguler (modèle dominant dans les réseaux sociaux) ;

  •   

    le réseau piloté comprend un acteur qui joue le rôle de coordinateur central de ses membres (modèle dominant dans l’économie marchande) ;

  •   

    le réseau administré comprend des règles institutionnelles qui permettent la coopération entre ses membres et où la gouvernance est assurée par des membres élus à la tête du réseau (modèle dominant dans l’économie sociale et solidaire).

7

Pour l’auteur, « le réseau offre le visage d’un nouveau contrat social dans le capitalisme » (p. 52). Il permet la mutualisation des ressources sur la base d’un contrat moral. Néanmoins, dans le capitalisme de réseau, l’ordre social établi s’applique aux membres du réseau (« l’intérêt du club ») et ne correspond donc pas nécessairement à l’intérêt général. Le réseau, en favorisant le mimétisme des acteurs, tendrait même à renforcer les risques de crise systémique (cas des subprimes) au sein du capitalisme de réseau. Dans cette situation, il semble difficile de faire sortir l’économie mondiale de la crise si ce n’est en replaçant l’idée d’intérêt général au centre même de l’entreprise en charge de la création de valeur en prenant en compte les attentes de toutes les parties prenantes. Pour l’auteur, la finance devrait reprendre la place économiquement neutre (et non créatrice de valeur) que lui accordait JB Say (1841). « Dans cette perspective, cela nécessite pour les pouvoirs publics d’adopter une régulation propice à une performance de long terme, qui conduise les acteurs à adopter un comportement éthique, soucieux du bien commun, et non pas à courte vue » (p. 58).

8

Le deuxième chapitre aborde la thématique « réseau et entreprise » sous l’angle stratégique. L’auteur part de la question classique en stratégie d’entreprise du « faire » (internaliser) ou « faire faire » (externaliser). Pour lui, le réseau se comprend comme un ensemble varié de collaborations entre des entreprises indépendantes et complémentaires, rendant ainsi plus difficile la détermination des frontières entre les entreprises. À contre-courant de la littérature issue des travaux de Coase (1937) puis de Williamson (1983) et dans le prolongement des travaux de Powell (1987), il présente le réseau non pas comme une forme hybride entre le marché (et ses coûts de transaction) et l’organisation (et ses coûts d’intégration) mais comme un mode d’organisation à part entière. Il dispose en tant que tel de ses propres mécanismes de gouvernance avec au cœur de ceux-ci la confiance, venant pallier le caractère incomplet des contrats. La confiance est une notion centrale dans le livre par laquelle l’auteur fait un long détour pour la mettre au cœur du fonctionnement d’un réseau. Il la définit comme « l’acceptation d’un individu d’être exposé librement aux décisions arbitraires d’un autre individu » (p. 77). Le management par la confiance apparaît comme un mode de coordination des collaborations entre les entreprises du réseau, à la manière d’un « lubrifiant des relations sociales » (Arrow, 1972). Au travers des illustrations de Benetton en Italie (confiance intuitu personae), du Technopark à Casablanca (confiance institutionnelle), du réseau Ikea dans l’ameublement ou du réseau Ford dans l’automobile (confiance relationnelle), la confiance apparaît sous ses diverses formes, comme la condition d’équilibre, parfois instable, de cette forme spécifique qu’est le réseau.

9

Le troisième et dernier chapitre aborde la thématique « réseau et territoire ». L’auteur déplace ici la problématique vers les réseaux territoriaux, à l’échelle mondiale, régionale puis locale, afin d’examiner les modalités de répartition des créations de valeur et de partage des rentes relationnelles entre les acteurs au sein des différents territoires.

10

Au niveau supranational, l’auteur propose un zoom sur l’Union Européenne (UE) qu’il appréhende comme « un réseau de pays » (p. 101). Au sein de ce réseau, il montre comment le principe de subsidiarité gouverne les décisions et les actions des différentes parties prenantes : elles sont prises au « niveau le plus bas » en général sauf si un « niveau supérieur » est requis pour l’intérêt collectif (recherche de la taille critique à travers de grands projets européens comme Galileo, Airbus ou Ariane par exemple). Régulé par des règles conventionnelles puis institutionnelles, le réseau de pays est menacé d’éclatement lorsque le nombre de membres de l’UE augmente et que la coordination entre ses membres devient trop difficile. De même, lorsque le territoire de l’UE devient trop grand ou morcelé, il ne parvient plus à jouer son rôle fédérateur grâce à la proximité entre ses membres.

11

Au niveau régional, le réseau renvoie à diverses appellations. Le réseau territorial ou « écosystème d’affaires à l’échelle territoriale » (p. 111) est généralement constitué par un ensemble d’entreprises et de parties prenantes de divers statuts (en termes de taille, marchand/non marchand, public/privé, recherche/industrie, appartenant à la même filière ou à des activités complémentaires, etc.). Revenant sur les fondements théoriques des écosystèmes d’affaires (Moore, 1996), l’auteur égraine successivement le district industriel de Marshall (1920) et son économie d’agglomération, réexaminé dans le contexte italien à l’image du réseau Benetton, puis les clusters de Porter (1998), dont l’exemple emblématique est celui de la Silicon Valley ayant inspiré en France la technopole de Sophia-Antipolis et enfin les 71 pôles de compétitivité essaimés sur l’ensemble du territoire français. L’auteur est critique à l’égard de cette construction de pôles sachant que « l’innovation ne peut pas se décréter » (p 114) expliquant que le manque de confiance et d’intérêts compatibles seraient à l’origine du manque de compétitivité d’un tiers de ces pôles de compétitivité en France. Il s’intéresse en particulier aux avantages territoriaux ou « effets de proximité » (Rallet et Torre, 2005) : la proximité géographique (l’appartenance à un même territoire), la proximité industrielle (l’appartenance à une même filière d’activité) et la proximité identitaire (la connivence locale autour du métier et des valeurs) expliquent les avantages compétitifs d’un réseau territorial, quel qu’il soit (district, cluster ou pôle de compétitivité). Ces avantages sont précieux car, « à l’image d’un bien commun… ils bénéficient à tout le monde et à personne en particulier » (p. 115).

12

Au niveau local, à travers le cas d’Hervé Thermique, PDG de l’entreprise acronyme puis maire de la ville de Parthenay, l’auteur montre qu’un cas de démocratie d’entreprise n’est pas nécessairement transposable à un modèle d’autogestion d’une ville. À travers ces diverses situations (entreprise, administration publique ou ville), il conclut qu’il n’existe pas un modèle unique de gouvernance mais plutôt des combinaisons de pratiques managériales opposées et complémentaires : la hiérarchie (autorité) garante de la dimension politique, le marché (négociation) garant de la dimension économique et le réseau (coopération) garant de la dimension sociale.

13

L’auteur conclut son livre en attribuant à la logique de réseau une double ambition : une ambition économique en contribuant à développer l’intelligence collective et une ambition sociale où la logique du lien l’emporte sur la valeur du bien (en reprenant Marcel Mauss). Considérant l’entreprise comme un lieu de socialisation mais aussi les territoires comme des lieux de solidarité, le réseau apparaît à l’auteur comme une réponse à la complexité grandissante d’une économie sans frontières ou au désenchantement des salariés dans leur univers de travail. L’auteur imagine un acteur, l’homo reticulus (p. 14), qui réconcilierait l’homo economicus, totalement mû par un intérêt égoïste et l’homo sociologicus, complètement social. Il évoque un capitalisme de réseau qui réconcilierait capitalisme de marché et capitalisme d’État. Quant au management en réseau de l’entreprise, il réconcilierait la main invisible du marché et la main visible du dirigeant pour la création de valeur (Assens, 2013).

14

Le management des réseaux est, à n’en pas douter, un ouvrage ambitieux qui vise à montrer que le réseau contribue à « créer de la richesse économique à partir du lien social » (p. 146). Il s’agit d’un remarquable travail de synthèse des travaux de son auteur sur la gouvernance des réseaux, les stratégies interorganisationnelles et les avantages compétitifs des réseaux territoriaux. Finalement, il s’agit d’un livre hybride qui se situe quelque part entre le manuel, pour son exhaustivité, et l’ouvrage de recherche, pour ses nombreuses références à la littérature de théorie des organisations, de sociologie, d’économie et de management stratégique (champ des sciences de gestion duquel l’auteur se revendique) dont nous n’avons pu donner ici qu’un rapide aperçu. Il aborde de nombreuses dimensions et de nombreuses références disciplinaires qui en font un ouvrage de fond dont il est délicat de rendre compte en si peu de pages tant son contenu est riche et hétéroclite.

15

Cet ouvrage offre un maillage intéressant et dense de connaissances théoriques et empiriques sur le management des réseaux. Il met en outre en perspective la notion de réseau, tant par sa contextualisation (macro/micro, État/entreprise) que par la variété de ses objets (entreprise, système économique). Il est ainsi susceptible d’intéresser un public académique large appartenant à des champs disciplinaires variés. Plus largement encore, sa lecture est susceptible d’être tout aussi bénéfique pour un lectorat académique que pour des décideurs privés et publics.

16

La lecture de cet ouvrage peut néanmoins susciter des questions chez un lecteur non averti. Certains jugeront que l’ouvrage reflète par endroits une vision trop optimiste des effets macro-économiques et sociétaux du réseau qui gagnerait à être tempérée (comme la façon de réguler la toute-puissante finance mondiale). D’autres trouveront sa lecture particulièrement stimulante dans un contexte où les individus se complaisent parfois dans la morosité ambiante. Le réseau, un îlot de solidarité dans un océan de rivalité mondiale ? Ou, comme l’écrit l’auteur dès son introduction, « un îlot de cohésion sociale dans un océan d’incertitudes économiques et politiques » (p. 14).

17

Frédérique Blondel,

18

RITM, Faculté des Sciences – PUIO – MIAGE d’Orsay


revue de presse sur l'ouvrage


Distingué dans la catégorie Meilleur ouvrage de recherche appliquée en management pour son livre "Le management des réseaux", publié aux éditions De Boeck, Christophe Assens, revient sur son prix et sa recherche au sein des équipes de son laboratoire.

 

https://alumni.uvsq.fr/article/zoom-sur-christophe-assens-enseignant-chercheur-et-directeur-adjoint-du-larequoi/16/06/2014/89

SERIE D’ETE. « A dire d’expert ». Christophe Assens, docteur en science de gestion, a reçu le prix de meilleur ouvrage pour Le management des Réseaux - Tisser du lien social pour le bien-être économique, lors de la sixième édition du Prix Académique de la Recherche en Management, en avril dernier.

 

https://www.lesechos.fr/idees-debats/leadership-management/penser-au-reseau-pour-elaborer-une-strategie-1247289




"Il est heureux que Christophe Assens, chercheur et expert largement reconnu dans le champ des réseaux, nous livre dans cet opuscule, son savoir académique enrichi de multiples illustrations convaincantes."

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Lu pour vous "le management des réseaux" : Revue Personnel
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Dans son ouvrage Le management des réseaux - Tisser du lien social pour le bien-être économique (de Boeck), Christophe Assens, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, présente le résultat de vingt années de recherches portant sur les réseaux en management stratégique. Il vient d'être récompensé par une Mention Spéciale. Entretien. 


Compte rendu de lecture sur le livre "le management des réseaux" dans les Cahiers de Psychologie Politique par Jean-Marie Seca (Professeur de Sociologie) . " Ce livre, qui a été de multiples fois plébiscité par la presse en management et les milieux académiques (Prix 2014 de la fondation Manpowergroup-HEC ; Prix 2014 Syntec de la Société Française de Management)... 

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Lu pour vous "le management des réseaux" : les cahiers de psychologie politique
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LA SÉLECTION DU PRIX FONDATION MANPOWERGROUP/HEC — COMMENT BIEN RÉSEAUTER" Tout l'été, la sélection du Prix de la Fondation ManpowerGroup/HEC Paris est passée en revue sur l'Atelier de l'emploi. Le Management des réseaux est le quatrième livre à être chroniqué. LECTURE. L'important, c'est le réseau ! De l'époque du troc à LinkedIn... et (surtout ?) pour l'entreprise de demain. Le management des réseaux vient explorer un concept plus souvent discuté qu'analysé...(clic sur image) 


Interview dans le numéro thématique du magazine VERT & BLEU - UVSQ: "les nouvelles frontières du pouvoir"- nov 2014 : Les salariés avouent ne plus savoir qui prend réellement les décisions au sein de leur société. Qui détient aujourd'hui le pouvoir dans les entreprises ?

 

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Les nouvelles frontières du pouvoir
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Interview de Christophe Assens, enseignant chercheur et directeur adjoint du LAREQUOI (Laboratoire de recherche en management de l'université de l'UVSQ). Distingué dans la catégorie Meilleur ouvrage de recherche appliquée en management pour son livre Le management des réseaux, publié aux éditions De Boeck, Christophe Assens, revient sur son prix et sa recherche au sein des équipes de son laboratoire. La lettre de la Recherche


Interview dans le Journal de l'Economie. " Qu'est-ce qu'un réseau ?" C'est à cette question, bien plus complexe et plus vaste qu'il n'y paraît, que répond Christophe Assens dans l'ouvrage qu'il vient de publier chez De Boeck. Sa hauteur de vue sur le sujet, notamment, lui a valu de se voir décerner le prix académique du meilleur ouvrage de recherche en management par Syntec Conseil en Management, en collaboration avec la Société Française de Management"


 

Interview dans les Carnets du Business (le magazine du management stratégique). "Le concept de réseau revêt aujourd'hui des acceptions très différentes au confluent de la sociologie, de la géopolitique, d'Internet, de la psychologie, et de bien d'autres disciplines. L'entretien permet de situer brièvement l'état des connaissances en la matière.


 Christophe Assens vient de publier un ouvrage intitulé « le Management des réseaux, tisser du lien social pour le bien-être économique » (Éditions De Boeck) dans lequel il consacre plusieurs chapitres à Parthenay ainsi qu'à son ancien maire, Michel Hervé, non seulement en tant qu'élu initiateur de la ville numérique, mais aussi en tant que chef d'entreprise (Hervé Thermique). Accès à l'article de la Nouvelle République. 


Interview dans la Gazette des Communes, 4 fevrier 2013 : "La coopetition : quand les collectivites jouent l intelligence territoriale"

Interview sur Radio France Internationale, 5 novembre 2012

 

"Poles de competitivite : le choix francais de

l innovation"

Interview dans le Monde Initiatives, fevrier 2004 

Interview dans le Monde Initiatives, fevrier 2004 

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La Gazette : quand les collectivités jouent l'intelligence territoriale"
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RFI : le choix français de l'innovation
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Le Monde : la fascination du réseau
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Le Monde : une hiérarchie de l'ombre
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Tribune dans le Monde : le "capitalisme patrimonial en crise" publié en 2004, prémonitoire sur la crise systémique de 2008, analysée dans le premier chapitre de l'ouvrage : "le management des réseaux"

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Le Monde "le capitalisme en crise"
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conference a l'ambassade de france en bulgarie

Conférence-débat

Tisser du lien social pour le bien-être économique

avec Christophe Assens,

Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

Discutants : Anna Krasteva et Kiril Avramov (NUB)

26 mars 2014 à 18 h – Institut français de Bulgarie 3 place Slaveykov – 1000, Sofia

Traduction simultanée français-bulgare



traduction de l'ouvrage

Edition en portugais du livre "le management des réseaux"

A Gestão das Redes : Tecer laços sociais para o bem-estar económico"

 

 

Como sair da crise política, moral e económica que lança dúvidas sobre a perenidade do capitalismo? Num período de grandes transformações, em que o sistema financeiro rege o desempenho, em que as empresas perdem os seus pontos de referência, em que os poderes públicos já não têm margem de manobra, é tempo de refletir sobre um novo pacto social no âmbito da economia de mercado. Será possível adotar comportamentos menos individualistas para produzir riqueza? Será que a coesão social é assegurada na empresa por uma governância mais democrática, em domínios de dimensão humana, através do aumento das colaborações de proximidade? Consagrado à gestão das redes, este livro vem clarificar muitas destas questões. Ele estabelece os contornos de um novo modelo de capitalismo mais respeitador das aspirações sociais, sem cair na utopia comunitarista. Nele se explica como manter o crescimento económico, conciliando os objetivos financeiros com a necessidade de reconhecimento social. Redigido de uma forma acessível, este livro destina-se a um vasto público de gestores, profissionais, consultores, docentes, investigadores e estudantes. Um «novo espírito do capitalismo» ganha forma nesta obra, com o modelo do capitalismo de rede, longe do mercado desumanizado, sem, no entanto, assumir uma posição ideológica.


EDITION EN bulgare DU LIVRE "LE MANAGEMENT DES RÉSEAUX"

Управление на мрежи, Нов български университет Préface du Professeur Gilles Rouet, Docteur Honoris Causa de la Nouvelle Université Bulgare.

 

traduction par le Dr. Milen Chiptchanov  

 

"Comment sortir de la crise politique, morale et économique, qui sème le doute sur la pérennité du capitalisme ? À une période de grands bouleversements où la finance sert de dogme pour la performance, où l'entreprise perd ses points de repère, où les pouvoirs publics n'ont plus de marge de manoeuvre, il est temps de réfléchir à un nouveau pacte social dans l'économie de marché. Est-il possible d'adopter des comportements moins individualistes, pour produire des richesses ? Est-ce que la cohésion sociale est préservée dans l'entreprise par une gouvernance plus démocratique, dans des territoires à taille humaine, en multipliant les collaborations de proximité ?

Consacré au management des réseaux, cet ouvrage apporte des éclairages sur ces questions. Il établit les contours d'un nouveau modèle de capitalisme plus respectueux de l'aspiration sociale, sans sombrer dans l'utopie communautariste. Il explique comment entretenir la croissance économique, en réconciliant les enjeux financiers avec le besoin de reconnaissance sociale.

Rédigé dans une forme accessible, l'ouvrage est destiné à un large public de managers, de professionnels, de consultants, d'enseignants-chercheurs et d'étudiants."


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Summary of the Book "Management of networks"
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Préface du Pr Gilles Rouet
Préface Gilles Rouet.pdf
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